IV. Les Infractions courantes.a) L’esclavagisme.L’esclavagisme consiste en une infraction sur les salaires minimaux, la loi royale prévois un salaire minimum de 16 écus pour les ouvriers agricoles non qualifiés (0 de caractéristique), il arrive dans certain duché/conté que ce minimum soit augmenter (généralement à 17 écus) ou diminué et qu’il existe aussi des tarifs minimaux pour embaucher des travailleurs plus qualifiés.
Avant de continuer plus avant, j'aimerais m'expliquer sur un point que certain auront sans doute relevé.
Je viend de dire que la loi royale fixait un salaire de 16 écus, c'est là un racourci que l'on entend souvent, mais je tiend à en profiter pour rappeler à chacun que la loi ne donne pas de chiffre spécifique, la valeur de 16 écus étant plutôt une coutume... C'est cela qui permet au différent comté et duché de se doter de minimum propre, car dans sa grande sahesse le Roy avait prévu de permettre à ses vassaux une certaine "indéprndance."
L’officier de police doit donc veiller à ce que ces minima soient respectés par la population de sa juridiction.
Pour cela l’officier de police devra régulièrement se rendre à la mairie de sa ville, pour consulter les propositions d’embauches et les contrats signés. (cf. image ci-dessous).
Deux cas de figure peuvent alors se présenter :
- Un contrat ne respectant pas la loi est proposé mais encore non accepter (colonne de gauche sur l’image précédente) : Il est alors du devoir du lieutenant de prévenir le contrevenant par courrier afin de lui permettre de rectifier son erreur. Je vous propose un courrier type
- Citation :
Titre : Rappel de la loi sur l’esclavagisme
Texte :
Damoiselle, Dame, Sir (rayer les mentions inutiles) <nom du fautif>
Il est apparue aux services de polices de la ville de <nom de la ville> que vous tentiez actuellement de recruter au salaire de XX écus.
Nous vous rappelons que le salaire minimum en vigueur en <nom du duché/conté> est de XX écus. (préciser qu’il s’agit de la loi royale le cas échéants).
Nous vous prions donc de bien vouloir régulariser la situation avec toute la célérité possible, dans le cas contraire des poursuites pour esclavagisme pourraient être intenté contre votre personne.
Cordialement.
Si le fautif a le temps de retirer son offre et de la replacer à un tarif respectueux de la loi, il n'y a alors pas lieu de donner suite à cette affaire.
- Un contrat frauduleux à déjà été signer (colonne de droite) : Dans ce cas le lieutenant doit transmettre l’affaire à la justice, nous étudierons les voies hiérarchiques et la transmission de dossier plus tard dans une prochaine conférence, pour le moment sachez qu’il vous faudra contacter le prévôt.
Il est également de bon ton d’envoyer un courrier au fautif et à sa victime afin de les prévenir, je vous propose encore une fois quelques messages type
Pour le fautif :
- Citation :
Titre : Esclavagisme
Texte :
Damoiselle, Dame, Sir (rayer les mentions inutiles) <nom du fautif>
Il est apparue aux services de polices de la ville de <nom de la ville> que vous aviez recruter <nom de la victime> au salaire de XX écus.
Nous vous rappelons que le salaire minimum en vigueur en <nom du duché/conté> est de XX écus. (préciser qu’il s’agit de la loi royale le cas échéants).
L’affaire a été transmise à la justice, et il est possible qu’un procès à votre encontre soit prochainement ouvert au motif d’esclavagisme.
Cordialement.
Pour la victime :
- Citation :
Titre : Esclavagisme
Texte :
Damoiselle, Dame, Sir (rayer les mentions inutiles) <nom de la victime>
Il est apparue aux services de polices de la ville de <nom de la ville> que vous aviez été recruter par <nom du fautif> au salaire de XX écus.
Nous vous rappelons que le salaire minimum en vigueur en <nom du duché/conté> est de XX écus. (préciser qu’il s’agit de la loi royale le cas échéants).
L’affaire a été transmise à la justice, et il est possible qu’un procès à l’encontre de votre employeur soit prochainement ouvert au motif d’esclavagisme et que vous soyez appelé à témoigner.
Cordialement.
b) Le Racket.Le racket désigne l'activité de plus en plus répondu qui consiste à détrousser les passant sur les routes de nos campagnes, cette activité ruine de nombreuses personnes voir même leur coûte la vie, les rufians se livrant à cette activité étant généralement particulièrement violent.
La première chose à faire lorsqu'une telle chose vous est signalée en tant qu'officier de police, sera de vérifier si cette affaire est bien sous votre juridiction.
Puis si l'affaire est bien sous votre juridiction vous devrez transmettre le témoignage de la victime à la prévôté. (cf. image ci dessous)
Comme vous pouvez le constatez la punition des brigands n'est pas une tache particulièrement ardue pour les officiers de police...
Toutefois, rappelez vous que le devoir de l'officier de police est de garder le calme sur sa juridiction, il conviendra donc de menez des actions préventives contre les brigands.
La plus élémentaires est un travail de sensibilisation des voyageurs, en leur expliquant les risques qu'ils encourent à voyager seul et en les encourageant à voyager groupé. Si jamais ces voyageurs ne pouvaient trouvé de compagnon de voyage, vous pouvez les diriger vers les nombreux groupes effectuant des missions d'escorte comme les armées de votre territoire, les templiers et autres ordres de chevalerie en général ou encore les Protecteurs qui ont l'avantage d'être gratuit donc d'être accessible même au plus humble des vagabonds.
L'autre axe de la prévention du brigandage, est plus actif, nous pouvons en distingué deux types :
L'intimidation : qui consiste à effectué régulièrement des patrouilles lourdement armés sur votre juridiction, afin de vous montré présent et qui fera soit fuir les brigands, soit les forcera à travailler en plus grand groupe, groupe qui sont plus aisément repérable.
L'identification : la caractéristiques premières des brigands est leur lâcheté, ce qui fait qu'il ne s'attaque que très rarement à des groupes organisé et armé, ce qui rend leur identification plus difficile, dans ce cas il peut être utile d'utiliser une "chèvre" pour les appâté. La chèvre est un courageux volontaire qui voyage seul et avec le minimum de matériel sur lui, ce qui en fait une proie facile et donc potentiellement attaqué par les brigands. Si ce volontaire survit il pourra aisément transmettre l'identité de ses agresseurs.
[HRP] Vous remarquerez ici que je n'ai pas parlé de la réforme HRP sur le brigandage en vigueur dans plusieurs comté/duché, c'est volontaire car elle n'est pas encore très répandue. Si vous vivez sur un tel territoire vous pouvez vous référer au texte qui est assez clairement expliquer.
Si vous vivez sur un territoire qui n'applique pas cette réforme, je vous recommande de la lire, et d'appuyer en sa faveur auprès de votre conseil.[/HRP]c) La spéculation.Certainement l’infraction la plus difficile à prouver, la spéculation est le fait d'acheter puis de revendre plus chère sur un même marché une marchandise quelconque et constituent le type d’enquête pour lesquels la collaboration de la population locale est la plus indispensable au lieutenant.
Ici le point de départ d’une infraction sera toujours le témoignage d’un habitant qui faisant son devoir civique viendra vous signaler un achat étrange d’une de ses marchandises, comme par exemple un bûcheron venant vous signaler avoir vendu du bois à un meunier.
L’élément essentiel de votre enquête reposera ensuite sur l’achat de quelques unes des denrées incriminées sur la place du marché. Le lieutenant se devant bien entendu d’acheter les plus chères présentes. Il devra ensuite contrôler la provenance des produits achetés par ses soins et vérifiés que le nom de son suspect n’y apparaît pas.
Une fois les vérifications effectués le lieutenant pourra éventuellement revendre les produits acheter pour vérification en le remettant à un prix au maximum égale au prix d’achat, l’idéale étant de les remettre moins chère afin d’aider la communauté.
On constate ici un autre aspect de l’aide que peut apporté le lieutenant à sa communauté. Mais j’ai également entendu parler de contrat passé avec les mairies locales qui subventionnerais ce type d’achat de vérification.
Bien entendu ce que je vient de vous dire est d'ordre très général, et on peu identifié différent grand groupe de spéculateurs :
1) Dans les villes ou la mairie rachète régulièrement des denrées sur le marché des joueurs à prix défini à l'avance : Il arrive dans ce cas que certain en profite pour acheter les produit vendu en dessous du prix défini et le remette en vente au prix défini par la mairie.
Dans ce cas un bon moyen est de demander au maire de vous fournir le log de ses achats pour la mairie et de comparer les noms, mais dans ce cas il faut vous préparer à éplucher ce log tous les jours..
2) La spéculation à l'ancienne tout en finesse avec prix exorbitant : Là il faut que le lieutenant (ou la mairie) achète le produit coûteux pour avoir le nom du vendeur, ensuite vérifié si il est capable de produire ce produit, si ce n'est pas le cas vous serez fixés.
3) Le spéculateur un peu plus astucieux que la moyenne : Celui-là spécule avec des produits qu'il est capable de produire, c'est très dure à prouver mais pas impossible avec la coopération du village et si la spéculation se fait sur une assez grande quantité. (voir ci dessus)
4) Le spéculateur occasionnel, ou "l'occasion fait le larron" : Celui-là va profité d'un produit extrement peu chère sur le marché de joueur pour l'acheter et le refourguer à la mairie en vente automatique, c'est assez rare et à ma connaissance pas vraiment de moyen de les prendre en flagrant délit.
Vous aurez remarqué que la lutte contre la spéculation demande un investissement financier de la part du lieutenant, pour cela il existe deux "écoles" :
Certains officiers se reposent sur un portefeuille fournit par le comté ou la mairie (via mandat, ...) et doivent donc rendre compte régulièrement de l'utilisation de ces fond qui sont en toutes logiques soumis à une étroite surveillance.
D'autre, dont je faisait partis, préfèrent fonctionné avec une caisse personnel, qui leur demande moins de paperasse à remplir, cela peut paraître un gros investissement, mais n'oublié pas qu'un officier de police devra voyagé pour les patrouilles anti-brigandage, ce qui lui donne l'occasion de faire du marchandage et de rentrer dans ses frais ou au moins de diminuer ses pertes.
d) Les troubles à l'ordre public.Les troubles à l'ordre public, constituent une catégorie d'infraction très vaste et très variable d'un comté ou duché à un autre.
D'une manière générale ils constituent l'ensemble des événements se produisant en place public (gargotte, Halle, taverne, ...) et qui sont susceptible de troubler la quiétude des villageois sous votre juridiction.
Pour parer à cela, l'officier de police doit se tenir toujours vigilant et à la disposition des villageois en fréquentant régulièrement tous les lieux publics. Dans un premier temps, il devra tacher de maintenir le calme et de mettre un terme aux échauffourées et en cas d'échec, il devra procéder aux arrestations des contrevenants et prévenir sa hiérarchie.
Toutefois, les échanges verbaux ou physiques ne sont pas les seules cas de troubles à l'ordres publics, un cas d'école classique est la spéculations de masses faites par des groupuscules visant à créer des inflations majeurs dans le seuls but de semer le chaos, dans ce cas, l'officier de police devra sévir immédiatement.
[HRP] les Injures :
J'attire votre attention sur cet élément particuliers des TOP, ils vous faudra faire la distinction entre les insultes RP et les insultes HRP.
Les insultes RP sont du ressort des officiers de police (quoi qu'il faudrait gardé à l'esprit que le jeu se déroule au 15ème siècle), mais les insultes HRP sont du ressort des censeurs qui devront alors être contactés.[/HRP]e) Les escroqueries :Comment définir l'escroquerie me direz vous ? Pour vous répondre je vais vous lire un extrait des Lois royales.
- Citation :
- Tout coquin qui osera utiliser ses dons de bonimenteur pour revendre à un pauvre innocent un produit à un prix indécent devra répondre d'escroquerie devant le tribunal compétent. Il s'exposera à une lourde amende, en monnaie sonnante et trébuchante ainsi qu'en points de réputation. Toute récidive sera punie d'une peine d'emprisonnement dont la longueur dépendra de la somme extorquée.
L'escroquerie peut donc se définir comme la vente d'un objet pour un prix surestimant sa valeur.
Le lieu d'escroquerie le plus courant est bien entendu le marché de la ville, il conviendra donc que le lieutenant s'y rende régulièrement afin d'observé à quel prix les produit sont proposés et si il note une infraction, le lieutenant devra faire l'achat d'une de ces marchandises afin d'en identifié la provenance.
Une fois la provenance identifiée il y aura deux options pour le lieutenant, dépendant de l'orientation plutôt répressive ou préventive de la justice locale.
Dans le cas d'une optique répressive, le lieutenant n'aura qu'à transmettre le dossier à sa hiérarchie.
Dans le cas d'une optique préventive, le lieutenant pourra dans un premier temps contacté le fautif, afin que ce dernier retire ses marchandise de la vente (pour les remettre à un prix correcte) et rachète la marchandise que le lieutenant à du acheter pour vérification. Si le fautif accepte alors le lieutenant peu laisser l'affaire à ce niveau, sinon il n'aura qu'à contacter sa hiérarchie
Mais comment définir à partir de quel prix nous avons affaire à une escroquerie ?
En fait cela dépend des lois en vigueurs sur votre juridiction, si votre juridiction dispose de ce que l'on appel une grille des prix, il vous suffira de vous y référer.
Si vous ne disposez pas de grille des prix, la règle souvent appliqué semble être de 30% au dessus du prix moyen de la marchandise sur le marché, mis attention il vous faudra vous renseigner auprès de cotre hiérarchie car ce chiffre est fortement susceptible de varié d'un duché/comté à l'autre.
D'ailleurs il existerait des territoires ou ce genre de comportement ne serait pas considéré comme une infraction.
Nous avons donc vu le cas le plus classique d'escroquerie, mais il en existe un autre. Il s'agit des escroqueries foncières, c'est à dire se déroulant pendant les cessations de champs sur le marché foncier, on en distingue deux types :
Premièrement, les cas rares ou le vendeur propose un champ nue à une valeur de plus de 500 écus et qui peuvent alors être considéré comme une escroquerie, bien maladroite d'ailleurs.... L'officier de police peut alors la détecter facilement et intervenir.
Deuxièmement, les cas que l'on pourrais qualifié de publicité mensongère et qui ne concerne que les élevages. Cela se produit quand le vendeur indique un nombre de bêtes supérieures à la réalité. Dans ce cas de figure l'officier ne pourra intervenir qu'après une plainte d'un acheteur.
Nous avons à présent à peut prêt fais le tour des infractions auxquelles sont confronté les officiers de polices, nous allons donc pouvoir parler de la lutte contre les organisation criminelles.